• Le tronçon Tahoua-Konni, les retards ne finissent jamais pour les transports en commun.

    Poste CAFER Tsernaoua (Konni)Quelques années de cela, l’état de la route Tahoua-Konni était très mauvais. La circulation sur ce tronçon est un vrai cauchemar dans les voitures de transport en commun. Elle pratiquement impraticale (mais mieux que Tahoua-Agadez). Deux ou trois ans maintenant, cette route est a été rénovée, tous les usagers peuvent circulés sans être inquiétés pour leurs véhicules.  Quelques temps après sa rénovation, c’étaient des cassis  anarchiques, pléthoriques et non conventionnels qui sont venus l’inonder. Entre Tahoua est Konni il y environ 20 villages à traverser (Founkouye, Bagagi1 et Bagga 2, Mountchéré ; Badaguiciri, Sabon Carré, Tsalama Dania ; Moujia ; Zouraré, Tasha ; Zouraré ; Awilikiss ; Dabnou ; Saléwa ; Guidan Boutou ; Guidan Idder ; Kakou ; Tsernaoua ; Tchérassa1 et 2). Mais, de l’entrée à la sortie de chacun de ses villages des cassis sont construits. A chaque fois que le chauffeur les atteint, il est obligé de faire des acrobaties pour pouvoir les traverser. Pour les populations qui les construisent, les raisons avancées, étaient pour éviter les accidents. Alors que, dans ces mêmes villages, rares sont, ceux qui ont plus de vingt maisons de part et d’autre de la route (à l’exception de Badaguichiri, Moujia, Guidan Ider, Tsernaoua et les 2 Tchérassa). Sans vergogne, ces villageois oublient qu’une route  fait l’objet des études minutieuses avant d’être réalisée. Et les cassis ne se construisent pas n’importe comment et n’importe où. Ils  ralentissent vraiment la circulation et causent beaucoup de tords aux usagers. En cela, un conseil des ministres du gouvernement nigérien a donné l’autorisation de retirer tous les cassis anormalement construits. Aujourd’hui, les peines causées par ces derniers n’est qu’un lointain souvenir. Mais, le gouvernement a oublié un autre problème ; celui des poste de contrôle et autres payage routier. Pour les seuls 135 kilomètres qui séparent Tahoua et Konni, les voitures de transport en commun doivent obligatoirement faire plusieurs arrêts (10 arrêts :Konni-Tahoua et au moins 4 :Tahoua-Konni). Pour un temps de voyage de 1h:30 à 2heures, il arrive de fois de faire 4 heures. Du poste de syndicat des transporteurs, au poste de police, douanier, la CAFER (Caisse Autonome de Financement de l’Entretien Routier) et autre poste que seul les conducteurs connaissent, tout ça, c’est du temps perdu pour les voyageurs  

    Les seules solutions alternatives pour nous voyageurs, c’est parfois les bus. Quant à eux, ils ne quittent pas à tout moment (tous les matins à 5heures et 14 heures le soir). Malgré le confort dont on les croyait avoir, ils ne satisfont pas à 100%. Nonobstant qu’ils soient climatisés, c’est bus ont des chaises très étroites (peut-être c’est parce qu’ils sont construits par les chinois, et eux les ont fabriqué à leur petite taille). Le secteur du transport a du plomb dans l’aile au Niger.

    « A Tahoua, au moment où certains militants du PNDS-TARAYYA croient être oubliés, d'autres offrent des donts à son nom

  • Commentaires

    1
    Abarchi ABARCHI
    Mardi 9 Septembre 2014 à 11:10

    Ton article est parfait, il reflete la realité du tronçon.

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